Le cycle cinématographique “Féminin Sacré” est une célébration des œuvres et des regards des grandes réalisatrices du continent dont les films dévoilent les multiples facettes du féminin, entre tradition et modernité. Ce programme sur trois mois met en lumière la puissance créatrice des femmes qui, à travers leurs films, explorent les enjeux sociaux, politiques, spirituels et intimes de la condition féminine. Un film de Dosseh DABLAH VOSSAH – 1h54 – 2024 (Sénégal) Jeune fille de Kabrousse dans le sud du Sénégal (Casamance), Aline Sitoé DIATTA quitte son village et ses forêts denses pour se rendre à Dakar où pour la première fois, elle a eu des visions, des révélations, voir des appels à retourner d’urgence dans son village afin de libérer son peuple d’une invasion qui lui coûtera une disparition à jamais.

Le cycle cinématographique “Féminin Sacré” est une célébration des œuvres et des regards des grandes réalisatrices du continent dont les films dévoilent les multiples facettes du féminin, entre tradition et modernité. Ce programme sur trois mois met en lumière la puissance créatrice des femmes qui, à travers leurs films, explorent les enjeux sociaux, politiques, spirituels et intimes de la condition féminine. AMINA Un film de Laure Malécot, Production : Artmada et Ecoversities – 26mn – Documentaire – 2020 Alors que la pandémie de Covid 19 fait toujours rage, quelques mois après le semi-confinement imposé au Sénégal, nous suivons les témoignages de quatre femmes engagées dans l’apport de changements positifs, dans les domaines croisés du développement économique, de l’éducation, de la psychologie et du bien-être personnel. Leurs points de vue spirituels et philosophiques convergent sur un point central : le besoin vital d’harmonie, à partir d’un sentiment d’interconnexion et d’interdépendance avec tous les éléments de la vie.

Cette exposition entre dans le cadre de l’anniversaire des vingts ans de la Galerie Le Manège de l’Institut Français du Sénégal à Dakar. À travers Diggante Taar Ak Kiliftéef, l’exposition interroge la figure de la drianké, cet archétype féminin qui incarne à la fois l’élégance et le leadership au Sénégal. Plus qu’un idéal esthétique, la drianké est une véritable institution culturelle, un maillon essentiel dans la transmission des valeurs sociales et spirituelles, un symbole d’influence et de sagesse.Dans une mise en espace qui mêle installations, photographies, vidéos et textiles, l’exposition explore cette mémoire vivante tout en questionnant son évolution et sa résonance dans le monde contemporain. Entre héritage et réinvention, elle met en lumière la manière dont ces figures féminines continuent de façonner les dynamiques sociales, en perpétuant un équilibre subtil entre tradition et modernité.Performance de Maua Ya Jua et des étudiants de l’école EIAD, suivi d’un ndogou.

Animé par Ban WorkShop +6 ans⎮ Plongez les mains dans l’argile et laissez libre cours à votre créativité ! Vous êtes débutant ou passionné, nos ateliers de poterie vous offrent un moment de détente et d’apprentissage. Accompagné par un professionnel, vous découvrirez les techniques à suivre pour donner vie à vos propres créations.

En 2025, l’Institut Français du Sénégal et Sciences Po en collaboration avec Sénégalaises in Tech et Polit’Elles s’associent pour célébrer la Journée Internationale des Droits des Femmes en mettant à l’honneur les parcours inspirants de femmes sénégalaise La journée est conçue comme un voyage à travers trois piliers fondamentaux de l’autonomisation féminine :  L’inspiration : Slam, poésie et témoignages de femmes pionnières pour éveiller des vocations. L’action : Des outils concrets pour renforcer l’autonomisation économique et professionnelle des femmes. L’engagement collectif et la réflexion : Un plaidoyer pour une transformation durable grâce au mentorat, aux réseaux de solidarité et aux institutions. Au programme :   Slam – Masterclasses – Table-ronde – Poésie – Lancement programme de mentorat     9h00 – Ouverture artistique – « Éveiller les consciences en Slam » avec Tamaa Performance de slam par Taman, une artiste engagée, pour lancer l’événement avec émotion et créativité. 9h30 – Masterclass 1 : « Briser les plafonds de verre » Confirmée Rosso Kane Dieng, Directrice de la Planification, du Partenariat et du Développement à l’Agence Sénégalaise d’Études Spatiales, partagera son parcours professionnel, ses défis et ses succès dans un domaine traditionnellement masculin. 10h30 – Masterclass 2 : « Financer son ambition » Confirmée  Une session pratique sur les financements innovants sera animée par Evelyne Dioh (Directrice associée de WIC Gestion), pour les femmes entrepreneures, en partenariat avec le Women Investment Club (WIC). 11h30 – Lancement du programme de mentorat  Présentation du programme Les “Passer’Elles de l’excellence », destiné à accompagner les jeunes femmes sénégalaises dans les Sciences (STIM et Sciences sociales) grâce au mentorat et à la formation.  12h00 – Panel de discussion : « Penser le futur au féminin » Cet événement s’inscrit dans le cadre des 30 ans de la Conférence de Pékin (1995), une étape décisive dans la lutte pour les droits des femmes et l’égalité des sexes.  Modératrice : Kamina Diallo. Panélistes : Seynabou Kane (lycéenne à Birago Diop), jeune auteure. Confirmée Fanta Sow, Chargée de Programme Gouvernance, Leadership, Participation politique à ONU FEMMES Sénégal Confirmée Pr Ndioro Ndiaye, médecin et femme politique de renom. Confirmation (22/02) Dimitri Sanga, Directeur du Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique de l’Ouest (en attente de confirmation). 13h00 – Clôture poétique : « Écrire par et pour les jeunes femmes »  Cette demi-journée se clôturera sur une note poétique avec Seynabou Kane. À travers une ode inspirante et émouvante, elle rendra hommage aux femmes, célébrant leur force, leur résilience et leur rôle clé dans la construction d’un monde meilleur.  *  Ndogou Slam à partir de 19h

Un film de Mounia Meddour – 2019 – 1h45⎮ Alger, années 90. Nedjma, 18 ans, étudiante habitant la cité universitaire, rêve de devenir styliste. A la nuit tombée, elle se faufile à travers les mailles du grillage de la Cité avec ses meilleures amies pour rejoindre la boîte de nuit où elle vend ses créations aux « papichas », jo- lies jeunes algéroises. La situation politique et sociale du pays ne cesse de se dégrader. Refusant cette fatalité, Ne- djma décide de se battre pour sa liberté en organisant un défilé de mode, bravant ainsi tous les interdits. Le cycle cinématographique “Féminin Sacré” est une célébration des œuvres et des regards des grandes réalisatrices du continent dont les films dévoilent les multiples facettes du féminin, entre tradition et modernité. Ce programme sur trois mois met en lumière la puissance créatrice des femmes qui, à travers leurs films, explorent les enjeux sociaux, politiques, spirituels et intimes de la condition féminine.

Tout ce que vous devez aimer dans l’art sans jamais l’avoir appris ou côtoyé dans sa diversité.

L’institut français vous invite à découvrir le jeune rappeur franco-comorien, Rayad. Âgé de seulement 12 ans, Rayad possède déjà un flow et un charisme affirmé. Cet artiste en devenir, qui conjugue les influences du rap français aux sonorités comoriennes, incarne une jeunesse pleine d’énergie, de créativité et d’ambition. D’autres jeunes artistes invités : DJ, MC, chanteurs et musiciens accompagneront Rayad en première partie de cet évènement. Venez profiter de ce concert exceptionnel pour un moment de partage en famille.

18h-30⎮L’OPÉRA DU VILLAGEOIS DE ZORA SNAKE Dans cette performance où politique et rituel s’entremêlent, Zora Snake embrasse le sujet de la restitution des objets rituels considérés comme œuvres d’art et disparus pendant la colonisation. «I AM NOT AN OBJECT», en écho au débat en cours sur la restitution des biens culturels, Zora Snake fait renaître le cœur sacré du masque dans toute sa force, sa puissance et comme vecteur de résistance. Qu’est-ce qu’un opéra ? Zora Snake propose dans cette performance de retourner nos définitions et nos perceptions de l’art et de son Histoire, en rendant hommage aux traditions artistiques et performatives inventées depuis des millénaires dans les villages africains. Les danses que sont le kounga, le Nka’a ou encore le Sondap viennent interroger la façon dont nous pensons la liberté artistique aujourd’hui et la façon dont les arts circulent entre les continents. Ces pratiques et les objets sacrés qui y sont liés sont autant de richesses spoliées par la colonisation, tout comme l’or et le sel qui sont au centre de la performance. 20h⎮HARRIET TUBMAN, PASSEUSE DE L’OMBRE PAR PENDA DIOUF Texte poignant écrit et joué par Penda Diouf plongeant le spectateur dans l’intensité dramatique de la vie de cette héroïne symbole de liberté et de justice. Etats-Unis, commission du Département du Trésor pour la validation de la représentation de Harriet Tubman sur les billets de 20 dollars en remplacement du président Andrew Jackson. Tout le long du récit, l’auteure passe en revue la vie de cette militante an- tiesclavagiste, abolitionniste et antiraciste américaine, puis féministe et mi- litante des droits civiques. Penda Diouf, écrit pour le spectacle vivant (théâtre, opéra, musique et danse). Ses pièces sont traduites en allemand, anglais, arménien, tchèque, italien, finnois. Elle a reçu différents prix pour ses pièces en France et en Allemagne et a bénéficié de résidences au Royal Court à Londres, à l’Institut Français de Tunis, à la Villa Albertine à New York ou au Théâtre National de Strasbourg. Penda Diouf est associée aux CDN de Valence, de Lille, de La Réunion ainsi qu’à l’Agora, Scène nationale de l’Essonne. Elle est lauréate en 2022 de l’appel à projets Mondes nouveaux et du Prix Nouveau Talent Théâtre de la SACD 2023. Elle est aussi co-fondatrice du label Jeunes textes en liberté. Ce texte est une commande d’écriture de la compagnie Les Archers.

Thierry Bugaud – 52 min – 2023 En Afrique de l’Ouest au XIIIème siècle, un vaste empire voit le jour, l’Empire Mandingue. 180 ans avant Chris- tophe Colomb, son empereur Aboubakari II entreprend de traverser l’Atlantique avec une armada de 2000 na- vires. Pourquoi cette histoire fut-elle maudite au sein même de la culture mandingue ? Pourquoi l’Empereur a-t-il voulu monter une expédition aussi gigantesque ? Il n’est jamais revenu, a-t-il réussi dans son entreprise ? Le continent américain a-t-il gardé des traces de l’arrivée d’Aboubakari II sur son sol ?